• Je suis Nathalie, j'ai 43ans. Je suis mère de deux enfants. Je suis de taille moyenne et assez jolie : dans la rue je sens souvent des regards s'attarder sur mes formes. Ce jour là, j'étais allée au supermarché. C'était le soir, la parking était désert. Je chargeais le coffre de ma voiture. Je m'étais habillée de façon assez classique. J'avais passé une jupe droite noire en laine, mi-cuisse, je portais des bas fumés, des escarpins noirs et un pull-over à col roulé vert. J'étais penchée en avant dans mon coffre, quand je sentis une présence derrière moi.

    Tout à coup, et prestement, ma tête fut recouverte par un sac sombre. Un lacet coulissant referma le sac autour de mon cou. Je me trouvais soudain dans l'obscurité, prise au piège de ce petit sac. Affolée, je me demandais comment réagir. J'ai senti une main me pousser en avant, et m'obliger à me courber vers le coffre. Puis des mains ont retroussé ma petite jupe en laine sur mes hanches, dévoilant le haut de mes bas et ma petite culotte en dentelle fine rose.

    Puis, lentement j'ai senti ma petite culotte glisser sur mes cuisses, jusqu'à hauteur de mes genoux. J'ai senti l'air frais sur ma croupe dénudée et offerte. Je réalisais que le fait d'être dans le noir décuplait mes autres capacités sensorielles. Je me calmais. Des mains se posèrent sur mes hanches. Je senti contre ma fente, quelque chose de dur, se loger exactement entre mes grandes lèvres. La pression s'accentua doucement. Les lèvres de ma vulve cédèrent : elle s'ouvrit laissant pénétrer cette grosse bite turgescente dans mon vagin. Elle me pénétra lentement et profondément.

    L'homme bougeait maintenant en moi. Je réalisais que j'étais son objet sexuel. Il me limais avec un rythme lent. Peu à peu, je sentis monter une chaleur entre mes cuisses. Mon excitation montait. Mon orifice vaginal se lubrifiait : l'homme glissait de mieux en mieux en moi, grâce à ma mouille. Sa bite entrait et sortait de moi de plus en plus aisément. Je me savais courbée en deux, ma jupe retroussée, et ma petite culotte baissée sur mes genoux. Je le sentais maintenant profondément dans mon vagin qui s'était lubrifié malgré moi. Un petit bruit de succion se faisait entendre à chaque longue pénétration. J'avais envie de le retenir en moi. Très excitée, je sentais maintenant mon clitoris en érection. J'était concentrée sur mon plaisir.

    L'homme lâcha ma taille pour palper mes seins à travers mon pull. Je n'avais pas de soutien-gorge et je savais qu'il sentait mes tétons durcis à travers la laine fine de mon pull. Je me sentais comme une petite chienne. Honteuse, j'avais presque envie de cette bite en moi. L'homme accéléra son rythme. Je le sentait très excité. Soudain, il se lâcha en moi. Il jouissait de moi. Son sperme giclait par à coups au fond de moi. J'était très excitée. Il se retira de moi. Je senti un grand vide. Il me laissa insatisfaite. Je l'entendis fuir en courant. Je reprenais mes esprits. Je me redressais essayant de retirer le sac autour de ma tête. Avec difficulté j'y parvenais enfin.

    Le parking était toujours désert. Je me baissais pour remonter ma petite culotte. Je la sentis se plaquer sur mon sexe humide. Je rajustait ma jupe. Je paraissais comme si rien ne s'était passé, sinon cette chaleur humide entre mes cuisses et le sperme de cet inconnu au fond de moi. Je fermais mon coffre et repartais. C'est alors que je me réveillais.

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